Chaque grande pièce d'infrastructure Web3 commence par un pari sur la neutralité et c'est exactement ce que représente le modèle de consortium @idOS_network. Contrairement aux solutions d'identité à chaîne unique qui finissent par être liées aux incitations d'un écosystème, idOS a été conçu pour être la Suisse des rails d'identité, une couche neutre servant toutes les principales blockchains et partenaires. Voici comment fonctionne l'architecture du consortium 👇 ❯ Gouvernance multipartite. Le réseau idOS est géré par un consortium d'opérateurs vérifiés, d'échanges, d'émetteurs de stablecoins, d'acteurs d'infrastructure de données et de fournisseurs de portefeuilles, chacun ayant un poids égal dans la validation des charges de travail cryptées. Aucune chaîne ou entreprise unique ne contrôle le flux de données. ❯ Intégration inter-chaînes par conception. La couche de stockage et de crédentiel est hors chaîne mais se connecte aux identités sur chaîne à travers les écosystèmes (EVM maintenant, NEAR et XRPL ensuite). Cela signifie qu'une application DeFi Ethereum, un portefeuille Solana et une néobanque NEAR pourraient tous vérifier le même credential utilisateur sans refaire le KYC. ❯ Tissu de confiance neutre. Parce que la gouvernance repose sur des parties prenantes diverses, et non sur un L1 parent ou un VC, le consortium sert de pont de confiance en matière d'interopérabilité plutôt que d'un autre jardin clos. C'est ce qui permet à idOS d'éviter le sort de devenir "le protocole d'identité d'Ethereum" ou "KYC uniquement pour Base". ❯ Décentralisation progressive. Au fil du temps, l'adhésion au consortium s'ouvre aux nœuds stakés et aux émetteurs de données. Pensez-y comme un déploiement de "partenaires de confiance" → "réseau ouvert" → "écosystème autogéré". ❯ Pourquoi c'est important : - Les émetteurs de stablecoins peuvent s'intégrer à l'échelle mondiale sans construire des piles d'identité redondantes. - Les dApps sur différentes chaînes peuvent vérifier les mêmes utilisateurs. - Les développeurs peuvent intégrer la logique d'identité une fois et déployer à travers plusieurs écosystèmes. C'est l'équivalent identitaire de ce que Chainlink a fait pour les oracles : standardiser la couche de confiance afin que chaque chaîne puisse se brancher sans réinventer la roue. C'est le pari du consortium : la neutralité comme caractéristique, l'interopérabilité comme produit.